Photothèque parcs éoliens

4 parcs éoliens, 4 régions, une photothèque

Cette entreprise spécialisée dans le développement de projets d’énergies renouvelables désirait constituer la photothèque de ses dernières réalisations. Plutôt que faire appel à des banques d’images en ligne, elle voulait des photographies qui lui appartiennent.

Des clichés qui lui permettent de renforcer la portée et la cohérence de sa communication interne et externe. C’est le type d’affaire qui enthousiasme le photographe ambulant. Assez rapidement, l’ordre de mission était donc défini afin de répondre au besoin tout en limitant l’impact carbone. Ce reportage prendrait ainsi la forme d’un itinéraire en boucle reliant les régions suivantes : Hauts-de-France, Bourgogne-Franche-Comté, Pays de la Loire et Nouvelle-Aquitaine.

A la recherche de la lumière

C’est un paramètre capital en photographie. Sur un temps limité et dans des territoires inconnus, il est d’autant plus important de conserver cette données au centre de l’organisation de la mission. Le programme et les activités de la journée étaient donc réalisées en fonction des conditions météo et du degré d’ensoleillement. Aussi étonnant que cela puisse paraître, il n’y avait parfois même pas le temps pour déjeuner. Une fois la nuit tombée, le tumulte laissait place aux travaux de fond comme le visionnage, le tri des photographies ou la conduite pour rallier le parc éolien suivant.

Une alternance de solitude et de rencontres

Pour parcourir ce circuit de près de 2500km, le photographe ambulant préfère les axes secondaires aux autoroutes. La route, la distance, le temps, font partie du reportage. Emprunter de telles routes c’est encore se laisser la chance de faire des rencontres : chez Rozita, savourer des frites au « blanc de boeuf » sur bord de la D1029 .

Arrivé sur le parc éolien, théâtre du reportage, il est primordial d’aller à la rencontre des agriculteurs et leur expliquer la démarche du photographe. Il faut savoir se présenter aux habitants du territoire en toute humilité.